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C'est une bonne question, et parfois la bonne décision est d'éviter des dépenses supplémentaires et d'utiliser un téléphone portable. Le problème avec un smartphone, c'est qu'en mode navigation, il ne vous offre généralement pas plus de 4 heures d'autonomie, alors qu'un compteur cycliste GPS vous offre plus de 10 heures. En outre, les capteurs qu'il contient ne sont pas optimisés pour le cyclisme, de sorte qu'il peut offrir une expérience moins bonne en termes d'enregistrement des itinéraires, de l'altitude, de la vitesse, etc. Un autre aspect important est la grande taille d'un smartphone, qui est plus un obstacle qu'un avantage. Les navigateurs GPS axés sur le cyclisme sont dotés d'écrans idéaux pour suivre la navigation et lire les données qu'ils proposent, mais en même temps, ils ne sont pas une " carcasse " sur le guidon. Cependant, les deux aspects qui, à notre avis, sont décisifs en faveur du vélo-compteur GPS par rapport au smartphone sont le rétro-éclairage de l'écran et la fragilité du smartphone. D'une part, l'écran d'un ordinateur de vélo a la définition idéale pour être bien vu dans n'importe quelles conditions, y compris les jours d'ensoleillement maximal, où un smartphone réfléchirait la lumière et l'écran ne serait pas visible. D'autre part, les ordinateurs GPS sont résistants aux chocs et à la pluie, ce qui les rend parfaits pour être montés sur des guidons susceptibles de subir un ou deux chocs.